| Missives : 10
Date d'inscription : 25/05/2011
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Amira Von Lerdeis Von Lerdeis Amira •Nom :Von Lerdeis /n/n•Prénom : Amira •Surnom: / •Âge: Inconnu •Sexe: Féminin •Situation : célibataire •Orientation sexuelle: bisexuelle • Elément: Electricité
| •Lieu de naissance: Inconnu •Origine: Inconnue •Classe: Grenadier •Race:Humain •Guilde: Aucune •Métier: Aucun pour l´instant •Classe sociale: Pauvre
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Point de vie et points de magie:
Point de vie | ❚❚❚ | Points de magie | ❚❚❚ |
Amira est assez grande, avec des formes assez prononcées : une taille pas si fine que cela, des épaules quelque peu massives, une poitrine généreuse. En réalité elle a un corps d´athlète, qui laisse supposer qu´elle avait suivi de longs entraînements physiques par le passé. Elle a le teint clair, les traits relativement fin, et des yeux d´un bleu aussi prononcé que celui de ses cheveux, qui sont, en plus, d´une longueur plus que respectable.[justify]
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[justify]Une femme d´apparence froide et inaccessible et qui se révèle ... aussi froide que peut le suggérer son apparence. Elle considère le monde qui l´entoure avec un détachement surprenant pour sa jeunesse apparente, semble ne rien affectionner en particulier et ne manifeste jamais d´émotions. Elle ne se soucie pas non plus de sa perte de mémoire et considère cela avec fatalité : c´est arrivé, point, inutile d´en faire tout un drame. Elle ne peut pas y remédier et doute fort que des scientifiques, même aussi doués qu´à Xalandra, puissent remédier à son problème. Alors elle se contente d´exister et de subvenir à ses besoins, se disant que peut-être un jour, quelque chose lui rappellera ses souvenirs envolés.
Toutefois elle a un penchant plus que notable pour trois choses : les combats et surtout les massacres, l´Alÿus, cette boisson alcoolisée que lui a faite découvrir un certain Ergas Malastès et la ville même de Xalandra, endroit qu´elle affectionne particulièrement, même si elle ne sait pas pourquoi ...
[justify]Amira s´était réveillée en plein après-midi sous des décombres et avait peiné à en sortir. Elle s´était longuement interrogée sur ce qu´elle faisait là : comment elle y était arrivée, que s´était-il passé pour qu´elle se prît tout cela sur la tête ? Et surtout, qui était-elle ? LA question qu´elle se posait alors qu´elle vit pour la première fois son reflet dans une vitrine d´un magasin quelconque. Elle s´était détaillée sous toutes les coutures, cherchant à comprendre d´où lui venait ces vêtements singuliers, ses cheveux bleus, et ces plaques de métal en lévitation. A plusieurs reprises elle avait tenté d´en attraper une pour l´observer plus en avant mais le métal, brûlant, lui avait provoqué une violente douleur aux mains. Elle avait donc fini par renoncer, à contrecœur, à les observer et à les comprendre. Puis elle avait rencontré une sorte de bande dans une ruelle de la ville. Un groupe de trois gaillards, qui rirent et l´enjoignirent à se battre. Elle avait alors usé de la seule arme en sa possession : son arbalète. Vaincre ses adversaires ne fut pas forcément aisés, surtout lorsque les carreaux étaient aussi faibles et peu solides que ceux-là. Mais elle y était parvenu, grâce notamment aux conseils avisé d´un homme à la tête à moitié arraché de son corps. Cette vision l´avait d´abord surprise, puis elle avait hoché la tête lorsqu´il lui avait montré la jambe de l´un de ces hommes ; elle avait alors tiré à ce niveau-là, arrachant un cri d´agonie de la victime. Puis elle avait encore suivi les conseils de cet homme et avait pu se défaire de ces trois lascars. L´inconnu à la tête à moitié arrachée l´avait alors saluée et avait disparu, subitement. Elle n´avait pas compris sur le coup, ne comprenait toujours pas, mais s´en moquait éperdument. Car après tout, cela lui avait permis de vaincre des adversaires. [A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE A SUIVRE ]
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